Re: Une pensée pour Guy
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Message posté par Lucky le 31.12.2019 à 10:08:17
Réponse au message Re: Une pensée pour Guy, posté par Guy le 31.12.2019 à 00:27:01
Une époque de fou !
Oh Mike le lama Kazicky ! Les arbitres eux se souviennent de son crachat légendaire !
Ça faisaient drôle de croiser Adrian les soirs d’avant match au MAD ... « tu joue pas demain Adrian? Je sais pas,mal épaule » le soir même le mecs traversait la glace cheveux aux vents après 3 relais avec Paul!
Il y a une anecdote assez mémorable lors d’un événement d’un sponsor en commun avec Kloten, les bad boys du LHC avait décidé de montrer ce qu’étaient des hommes au bar ...
Les déplacements en car avec les goleadors (la mythique pétition « virons Billy Flynn » après notre 15eme défaite de suite à Ajoie!)
N’oublions pas aussi que le numéro 10 était encore sur le dos d’Ambros Arnold.
Et tu peux ajouter Ralf Tanner le postier et un grand malade comme Peter Martin dans les goals !
Maintenant on est plus dans un hockey qui si je peux imager serait celui du numéro 14 de l’époque :)
Mais par contre à la toute fin de cette époque, lorsque les caisses furent vides, qui est arrivé en sauveur ?
Bill Terry et .... Jan Alston !
La boucle est bouclée :-)
>>Adrian Bachofner, une de mes toutes premières idoles au sein du LHC. Avec John Miner qui mettait des mines de la ligne bleue et qui n'hésitait pas à expliquer sa façon de penser à quelques adversaires récalcitrants ! Toute ma jeunesse, merci Guy !
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>C’est juste qu’au-delà de la GDF de mon d’enfance, puis de quelques cowboys qu’on n’oubliera pas tels Bashkyrov ou Verret, ce fut la période la plus rock’n roll de l’histoire du Lausanne Hockey Club. Lorsqu’à Miner et Lawless comme mercenaires, t’ajoutais Bachofner, Aebersold, Kaszycki ou Tschanz, les adversaires saisissaient vite que nos gars ne se laisseraient pas trop marcher sur les patins. En plus la commotion, c’était comme l’allergie au gluten ou le smartphone: on n’avait pas encore inventé.
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>Maintenant, faut qu’on admette toi et moi que ces périodes ne furent jamais que feux de paille. Éteints la plupart du temps parce qu’on n’avait plus un sou vaillant pour les attiser et auxquels succédaient des périodes bien sombres.
>On est donc devenu un outsider au titre grâce à une organisation impeccable ou bien plus que ça. Bravo-merci! Possible cependant que pour franchir La Dernière Marche, un soupçon de fureur, d’exaltation et de passion ne soit pas complètement à proscrire.
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